et si les courges amères pouvaient vous faire perdre vos cheveux, voire pire !!!

deux liens intéressants :
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/d ... eux_124372

http://www.centres-antipoison.net/cctv/ ... s_2017.pdf

Durant toutes ces années, j'en ai donc voulu à mon père a tort

@ linquat
Intéressant (bien que je méfie un peu des infos de "S et A"). Merci.

@ MarielouTof
Si c'est une allusion aux gènes, à moins d'être un bébé éprouvette,
nous avons les gènes des 2 parents…
Et ne pas oublier que la calvitie est le moyen le plus efficace
pour lutter contre la canitie.

Je ne sais ce qu'il en est de l'alopécie provoquée par les courges trop mûres. Pour ce qui est des courges amères, je pense, si je ne m'abuse, que c'est une autre façon de désigner les coloquintes qui sont toxiques. La "rumeur publique " prétend que celles-ci auraient figuré au catalogue des poisons utilisés par Catherine de Médicis.
En tout cas il faut se monter prudent dans l'utilisation et la culture de ces plantes qui peuvent facilement s'hybrider avec des cucurbitacées comestibles.

La coloquinte vraie ( Citrulus collocynthis) me semble particulièrement dangereuse par sa ressemblance avec le melon d'eau (Citrullus lanatus) qui désigne indistinctement la pastèque (chair rouge et sucrée) et le melon à confiture, encore appelé melon d'eau, ou melon de Moscovie, selon les régions (et j'en passe !) à la chair blanche et non sucrée.

D'après Wikipedia, l'appellation « Coloquinte » s'applique en français à plusieurs taxons distincts.

- À la coloquinte vraie, Citrullus colocynthis

- À des petites courges ornementales du genre Cucurbita, notamment
Cucurbita pepo
Cucurbita argyrosperma,
ou des calebasses, Lagenaria siceraria.

Y a t-il un risque si on ne cultive que des courges potagères
telles que C. moschata, C. pepo, C. maxima ?
En théorie, les différentes espèces ne pourraient pas s'hybrider
mais ce n'est pas une loi absolue…

Je suppose que si l'on ne cultive que des courges potagères, il n'y a pas de risque d'hybridation, à moins qu'un voisin....on n'est jamais sûr de rien...

Mai il ne faut quand même pas trop s'affoler, la prise de risque est quand même minime.