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Le printemps se fait désirer, il flotte encore en ce moment ! Mais heureusement les plantes ne tiennent pas compte de la météo et les cerisiers (Prunus serrulata) sont en pleine floraison.








Le groupe 1, vu de la fenêtre de la chambre



Une autre vue en plongée, l'arbuste qui fleurit blanc, un Prunus mahaleb, ou cerisier sainte Lucie est les seul autochtone et qui a poussé spontanément.

ça me rappelle des souvenirs, ces cerisiers roses et bâtiments... Un petit parfum de banlieue de l'enfance...

Un petit parfum de banlieue de l'enfance..

Pour moi, c'est l'inverse, ayant toujours vécu soit en campagne soit en limite de ville, je m'adapte à la vie en appart, sur ce grand plateau calcaire où je venais ramasser des fruits sauvages.
Avantages : peu besoin de la voiture : 3 lignes de bus, un super, trois boulangeries, 2 pharmacies, la Poste, la banque, etc...et le jardin dans la vallée(là il faut la voiture).

Un petit goût de Japon, mais moins subtil, tes cerisiers sont certainement des "new red ou kanzan " c'est très démonstratif pendant une quinzaine mais je préfère de loin les variétés à fleurs simples même si cela ne dure qu'un temps très limité.

C'est ce que je pense, New red ou Kazan, mais je manque d'éléments pour trancher.
C'est vrai que ça fait un peu "m'as tu vu', mais ça ne dure pas longtemps, et j'aimerais mieux plus discret et moins fugitif.
Pour ça, il faut descendre au jardin qui commence à se faire beau avec les pêchers.
Mais comme on dit "à cheval donné, on ne regarde pas bride", il ya des lieux qui sont pires.

C'est marrant je connaissais l'expression sous la forme "... on ne regarde pas les dents" et en cherchant un peu j'en découvre une multitude de déclinaisons dont le sens est similaire.

Intéressant la même expression en différentes langues, en espagnol, portugais, italien, ça va, le reste, il faut que je regarde la traduction.

J'ai ramené d'Allemagne (Westphalie) deux expressions dont je ne connais pas vraiment d'équivalant en France pour deuxième, j'ai oublié le texte en allemand, mais je me souviens de la traduction.
La première, équivalant de "un bon "tiens" vaut mieux que deux "tu l'auras" : Un oiseau (ou moineau )dans la main vaut mieux que deux sur la branche.

Et la deuxième : Un homme sans estomac est un malade (ou un handicapé).
L'estomac en jeu de mot pourrait se traduire par la fière bedaine caractéristique des buveurs de bière.