couverture végétale

il faudra lui demander maiqs D Soltner ,ce n'est pas non les dix commandements ,donc on prend ce qui ns interesse

Il y a des avantages et inconvénients pour chaque méthode (c'est la même chose pour les outils) et le couvert permanent ne déroge pas à la règle (même si je l'utilise de plus en plus).
Comme le dit le Biopotagiste il faut faut construire ses propres expériences.

je te conseille d'acheter son livre

C'est un livre à lire... mais personnellement la page 12 et ses renvois ont pas mal calmé mon enthousiasme... (tout ce qu'on met dans le sol on le boit ou on le mange un jour ou l'autre !)

Je n'ai pas lu le livre mais j'ai vu ses 2 dvds et il dit le contraire justement: si le sol est bien paillé pas besoin de désherbant.
Peut-être a-t-il évolué ?

Tant mieux...

je pense qu'il réagis comme moi en se disant qu'il faut mieux une personne qui utilise un désherbant la première fois pour ses adventices coriaces (même si cette idée me fait froid dans le dos) et qui ensuite passe en non travail du sol avec couvert permanent, qu'une personne qui labour son sol tous les ans et désherbe systématiquement au 360.

Cette été j'ai solariser une partie de parcelle

il y a avait toujours du liseron ,ils a plus donné signe de vie.
Je sais pas si la méthode plus pire pour le sol mais au moins pas de désherbant.

Soltner est l'auteur du manuel le plus utilisé dans les écoles d'agriculture (Les bases de la production végétale en 3 tomes). J'ai l'édition de 2005 : 24ème édition. Autant dire que Soltner n'est pas un pionnier de l'agriculture biologique mais un pilier d'un système qui découvre seulement maintenant qu'on peut cultiver avec des méthodes naturelles.

slt

il a eu une révélation alors

il est vrais qu'il y a beaucoup de similitude mais je diffère par l'adaptation au sol (limoneux, argileux, ect...), aux climats (ensoleillement et pluviométrie) et par la prise en compte du PH du sol.
je remplace aussi l'apport de compost vert (pour les petits semis) par des semis directs et l'utilisation de paillage plastique qui permet de gérer de grand potager.
je précise que quand j'ai mis au point ma méthode, ce qui c'est fait sur des années, je n'avais pas connaissance de la méthode soltner. et il n'y que quand j'ai eu accès à l'internet que je l'ai découverte ainsi que bien d'autre. ma première inspiration me viens de la lecture de l'ouvrage de Masanobu Fukuoka.
ceci dit pour bien démontrer que nous n’inventons rien, nous ne faisons que redécouvrir.

slt

Comme je l'ai écrit plus haut j'ai acheté le même livre et mis en pratique dans mon jardin ouvrier c'est à dire une bande de 1.2m de large ou je cultive sans marcher dessus et en paillant ensuite une allée de 40 cm recouverte de BRF pour éviter les mauvaises herbes,une bande ,une allée et ainsi de suite et résultat on veut me virer des jardins car pour eux mon jardin couvert de déchets végétaux c'est sale et une terre ,on doit la retourner au motoculteur après chaque récolte car si tu ne le fais pas c'est uniquement que tu es un faignant

Bonjour.

Domi : un véritable scandale des attitudes pareilles.

Que les dits jardiners amateurs balayent déjà devant leur porte car bcp doivent utiliser moultes produits chimiques etc ...

Comme je l'ai écrit plus haut j'ai acheté le même livre et mis en pratique dans mon jardin ouvrier c'est à dire une bande de 1.2m de large ou je cultive sans marcher dessus et en paillant ensuite une allée de 40 cm recouverte de BRF pour éviter les mauvaises herbes,une bande ,une allée et ainsi de suite et résultat on veut me virer des jardins car pour eux mon jardin couvert de déchets végétaux c'est sale et une terre ,on doit la retourner au motoculteur après chaque récolte car si tu ne le fais pas c'est uniquement que tu es un faignant[/quote]

C'est bien triste comme réaction.
Pour ma part j'ai démarré un nouveau potager selon la méthode Soltner au printemps 2011 sur un terrain qui avait par endroit beaucoup de chiendent, de liseron et de rumex.
C'est clair qu'il y a pas de méthode miracle et que cela amène certain inconvénient mais en ce qui me concerne je ne suis pas prête à changer de méthode.
Le chiendent et le rumex sont les plus difficiles à éliminer mais si on s'y tient pas de problème.
Je précise que n'ayant pas de broyeur je ne me sert pas de BRF.

Attention au paillage abusif!! Tout les plante n'aime pas un taux d'humus fort comme l'oignon ails échalote... certains légumes préfère les sols plus pauvres comme ceux ci.Le biopotagiste est sous climat méditerranéen faut pas oublier dans d'autres région climat différent d'autres pratiques culturale, il suffit par exemple d'un mois d'aout pourris je vous dit le résultat.Dans mon cas j'ai trouver déjà la solution de la pratique cultural différent sous climat différent.J'en ai parlé parler dans mon blog.

Concernant la difficulté de faire accepter les nouvelles méthodes dans un jardin ouvrier, elle ne m'étonne pas. Et donc je rends hommage aux pionniers qui essuient les conséquences de plus d'un siècle d'"obsession du propre", "pire catastrophe pour un jardin" selon Gilles Clément.Dans mon jardin d'église , où j'ai fait admettre qu'on peut et doit garder du "sauvage", j'ai droit de temps à autre des nettoyages clandestins et beaucoup de regards et propos réprobateurs. Mais ça progresse...
Il y a aussi le problème "médical" : le gens qui débarquent avec l'obsession du nettoyage ...et un grand désir de commander : ça va souvent ensemble. Ces personnalités se révèlent être très dépressives. Souvent des femmes mais là je pense qu'il s'agit d'une préférence féminine pour le jardinage.
Regardé d'une manière historique, on peut comprendre aussi qu'il s'agit d'une retombée mal assimilée des découvertes de Pasteur : tuer les microbes ouvrait des horizons réels pour la santé. On a donc vu des pathogènes partout. Au début du XXème siècle, les laboratoires Truffaut vendent un gaz, la vaporite, qui nettoie totalement le sol....en tuant ce qui s'y trouve. Les gaz ont joué le rôle que l'on sait pendant la guerre de 14-18. ...

Concernant la difficulté de faire accepter les nouvelles méthodes dans un jardin ouvrier, elle ne m'étonne pas. Et donc je rends hommage aux pionniers qui essuient les conséquences de plus d'un siècle d'"obsession du propre", "pire catastrophe pour un jardin" selon Gilles Clément.Dans mon jardin d'église , où j'ai fait admettre qu'on peut et doit garder du "sauvage", j'ai droit de temps à autre des nettoyages clandestins et beaucoup de regards et propos réprobateurs. Mais ça progresse...
Il y a aussi le problème "médical" : le gens qui débarquent avec l'obsession du nettoyage ...et un grand désir de commander : ça va souvent ensemble. Ces personnalités se révèlent être très dépressives. Souvent des femmes mais là je pense qu'il s'agit d'une préférence féminine pour le jardinage.
Regardé d'une manière historique, on peut comprendre aussi qu'il s'agit d'une retombée mal assimilée des découvertes de Pasteur : tuer les microbes ouvrait des horizons réels pour la santé. On a donc vu des pathogènes partout. Au début du XXème siècle, les laboratoires Truffaut vendent un gaz, la vaporite, qui nettoie totalement le sol....en tuant ce qui s'y trouve. Les gaz ont joué le rôle que l'on sait pendant la guerre de 14-18. ...

slt

tu viens de résumer la situation du jardin familial où je me trouve:deux obsédés (1 homme ,1 femme) du propre (ils viennent de demander à un jardinier qui avait installé depuis des années des ruches, de les retirer car danger selon eux)sont arrivés depuis décembre à la présidence et veulent mener les jardiniers à la baguette

Tu n'es pas le seul à rencontrer ce genre de difficultés . Les sociologues du PADES vont même jusqu'à préconiser de supprimer les associations au profit d'une tutelle d'un organismes quelconque. Moi je crois qu'il faut jouer le jeu de la vie associative avec ses difficultés et ses risques. C'est un lieu de mise en pratique de la démocratie directe.
Dans ton cas , tu peux :
- voir si tu n'as pas des alliés dans le jardin (au moins tu as l'apiculteur) et préparer avec eux la prochaine assemblée;
- les jardins familiaux ont une structure hiérarchique : tu peux saisir les structures locales (ville , région) et leur demander d'intervenir au nom de l'accord Ecophyto signés par la fédération nationale : certes, ce n'est pas un engagement à jardiner bio mais ça doit protéger ceux qui le font :http://agriculture.gouv.fr/Ecophyto-Kesako
- enfin comme ils sont deux, tu peux espérer qu'ils se bouffent le nez entre eux, ça arrive souvent !

Attention au paillage abusif!! Tout les plante n'aime pas un taux d'humus fort comme l'oignon ails échalote... certains légumes préfère les sols plus pauvres comme ceux ci.Le biopotagiste est sous climat méditerranéen faut pas oublier dans d'autres région climat différent d'autres pratiques culturale, il suffit par exemple d'un mois d'aout pourris je vous dit le résultat.Dans mon cas j'ai trouver déjà la solution de la pratique cultural différent sous climat différent.J'en ai parlé parler dans mon blog.

C'est vrai Dany et je ne paille ni l'ail ni l'oignon.................... mais tout le reste y a droit il est vrai que je réside dans le sud ouest.
Je pense aussi que l'on peut pailler partout, mais en épaisseur différente si je mets 10cm de paille ici peut être que 5 ailleurs suffisent et même moins car j'ai remarqué qu' au niveau de la fraîcheur du sol et de l'évaporation un paillage léger est assez efficace.