Voici le Daubenton la veille de la première coupe (8 avril), ça ne se voit pas tellement, mais il y avait un prolème d'aleurodes :
J'ai fait une première récolte. On l'a mangé avec une amie façon "embeurrée" comme on dit dans sa région nantaise. Il s'agit d'enlever les tiges et la nervure principales, puis on cuit le tout à la vapeur et on déguste avec des patates et du beurre. Bon, ça m'a pas convaincu car j'ai trouvé que malgré la longue cuisson à la vapeur les feuilles restaient un peu coriaces. J'ai pensé que c'était du à la forte charge d'ensoleillement qu'elles se prenaient, mais Claudie m'a dit que c'était pareil avec les choux verts chez elle à Nantes, que ça restait ferme.
Je crois que je préférerais nettement cuit en ragoût !
J'ai filé deux boutures à une amie, ça a fouaré alors que les tiges qui rampent sur le sol de la jardinière émettent spontanément des ébauches racinaires. Allez comprendre !
Voici Claudie en pleine préparation du feuillage avant la cuisson à la vapeur :