Papillotes de poisson au pelargonium odorant
Mangez vos pelargoniums, c'est excellent !
Je viens de tester un des miens, identifié par Thibaud : un "radula".
Recette à la fois très simple et très rapide. Résultat étonnant, un goût vraiment "nouveau", qui se marie très bien au poisson.
- Sur une feuille d'aluminium (ou de bananier...), poser une feuille ou deux de pelargo.
- Placer un filet de poisson par dessus (j'ai utilisé du capitaine; à mon avis, ça convient bien aux poissons blancs, mais avec du saumon, ça doit être pas mal non plus...).
- Recouvrir le filet d'une ou deux autres feuilles (les feuilles de mon pelargonium sont assez petites, j'en ai mis 3 par papillote).
- Mélanger une boîte de lait de coco, en ne prenant que la partie la plus épaisse (d'habitude, je préfère faire le lait de coco moi-même, mais il serait trop liquide pour la recette) avec deux ou trois cuillerées à soupe de nuoc-mam et éventuellement, un soupçon de piment hâché.
- Arroser le poisson avec ce mélange.
- Refermer la papillote et hop, au four 220°, cuisson entre 15 et 20 mn selon l'épaisseur du filet.
Voilà, c'est aussi simple que cela... J'avais ajouté d'autres aromatiques : tiges de citronnelle écrasées, feuilles de basilic citron et basilic pourpre. Mais ça me semble inutile (sauf peut-être le basilic pourpre, "pour le look") parce que le goût du pelargonium est puissant et a écrasé tout le reste.
J'ai accompagné ces papillotes odorantes de pâtes japonaises au sarrasin assaisonnées d'un peu de sauce de soja, d'algues iziki, de brèdes chou de chine (cuites sans épices, pour ne pas brouiller les goûts, simplement sautées avec des oignons émincés finement) et d'un peu de carottes râpées pour le croquant et la couleur. Jolie assiette, avec des goûts et des textures qui se mariaient bien. Mes expériences culinaires ne sont pas toujours des réussites, mais celle-ci, je vais la renouveler !
Avec du poulet, ça doit être pas mal aussi, le pelargo...
Je viens de tester un des miens, identifié par Thibaud : un "radula".
Recette à la fois très simple et très rapide. Résultat étonnant, un goût vraiment "nouveau", qui se marie très bien au poisson.
- Sur une feuille d'aluminium (ou de bananier...), poser une feuille ou deux de pelargo.
- Placer un filet de poisson par dessus (j'ai utilisé du capitaine; à mon avis, ça convient bien aux poissons blancs, mais avec du saumon, ça doit être pas mal non plus...).
- Recouvrir le filet d'une ou deux autres feuilles (les feuilles de mon pelargonium sont assez petites, j'en ai mis 3 par papillote).
- Mélanger une boîte de lait de coco, en ne prenant que la partie la plus épaisse (d'habitude, je préfère faire le lait de coco moi-même, mais il serait trop liquide pour la recette) avec deux ou trois cuillerées à soupe de nuoc-mam et éventuellement, un soupçon de piment hâché.
- Arroser le poisson avec ce mélange.
- Refermer la papillote et hop, au four 220°, cuisson entre 15 et 20 mn selon l'épaisseur du filet.
Voilà, c'est aussi simple que cela... J'avais ajouté d'autres aromatiques : tiges de citronnelle écrasées, feuilles de basilic citron et basilic pourpre. Mais ça me semble inutile (sauf peut-être le basilic pourpre, "pour le look") parce que le goût du pelargonium est puissant et a écrasé tout le reste.
J'ai accompagné ces papillotes odorantes de pâtes japonaises au sarrasin assaisonnées d'un peu de sauce de soja, d'algues iziki, de brèdes chou de chine (cuites sans épices, pour ne pas brouiller les goûts, simplement sautées avec des oignons émincés finement) et d'un peu de carottes râpées pour le croquant et la couleur. Jolie assiette, avec des goûts et des textures qui se mariaient bien. Mes expériences culinaires ne sont pas toujours des réussites, mais celle-ci, je vais la renouveler !
Avec du poulet, ça doit être pas mal aussi, le pelargo...