Jeu 19 Juil 2018 11:22 par MarielouTof
Avec ces méthodes de culture (grands champs ouverts), le but est de laisser faire les insectes pollinisateurs. Ces "créateurs" découvrent de nouvelles souches intéressantes et les commercialisent avant stabilisation. Ne pas oublier qu'il s'agit d'entreprises, les nouveautés sont synonymes de rentrée d'argent pour elles. Jusqu'ici, on est d'accord, sur le principe (et encore, on peut tout de même avoir des doutes), elles doivent se pérenniser financièrement, etc...surtout dans le contexte du modèle américain.
Là où je le suis moins, c'est qu'à aucun endroit, la présence, même potentielle, du gène bleu n'est évoquée. Ni sur le site de la firme mère, ni sur celle du revendeur de graines. Et c'est bien là que le bas blesse. Vertiloom m'a consciemment "contaminé", la récolte de graines pour cette saison s'en trouve compromise, du moins plus compliquée que prévue.
Je ne m'en serais pas rendu compte, ou le gène ne serait pas aussi flagrant, j'aurais pu à mon tour contaminer un autre collectionneur via les échanges de graines...
Je trouve ça très "limite" de leurs parts, et rejoins les commentaires ci dessus.
"J'peux pas encaisser les drapeaux, quoi que le noir soit le plus beau" Renard
L'auto-production potagère comme acte militant!