Bonjour tout le monde,
merci de vos soutiens et conseils. J'ai mis 9 plants en terre
, ça y est c'est parti!
Dans un dernier doute j'ai regardé si des personnes avaient eu la sympathie de s’arrêter sur mon post voire même de me faire des commentaires.
A ce titre, merci en particulier à papillonbleu qui m'a rappelé que oui, j'ai des bouteilles dont je m'étais servi pour les cucurb de l'année dernière, j'ai réussi à remettre la main dessus dans le capharnaüm qui me sert d'atelier. Je ne veux pas mettre de chauffage dans la serre en essayant de rester le plus naturel possible ("des jardins naturels"). J'ai donc prévu deux modes de chauffage d'appoint : des seaux métalliques (une couche de braises entre deux couches de cendre et le seau reste chaud jusqu'au matin) et une couche chaude que j'ai rempli de fumier frais cet après midi (coup de chaud prévu dans trois à quatre jours), nonobstant que les bouteilles constituent déjà une protection.
A ce propos, les bouteilles, deux questions techniques :
- vaut-il mieux qu'elles soient fermées ou ouvertes?
- Je reviens d'amener mes seaux de cendres dans la serre et qu'elles aient ou pas un bouchon, ça condense dur à l'intérieur, les feuilles touchent la bouteille, j'ai peur d'avoir un problème d'humidité nocturne dans les bouteilles...
Concernant le paillage, je suis partagé, j'ai de la paille, des tas de feuilles mortes, du BRF fait (et à faire) du fumier de cheval décomposé, ... bref je n'en manque pas, mais j'avais l'intention de ne pas pailler avant un mois pour que les racines s'enfoncent un peu (ayant remarqué que les racines sont fainéantes et qu'elles vont se contenter de courir en surface sous l'humidité du paillage si on paille juste après la mise en terre).
Du coup je suis partagé.
Aubergine, les chevaux sont à moi, ils dorment toutes les nuits dans leur box, donc j'ai pas de problème pour me procurer du fumier (j'ai davantage un problème de surplus).
Matou (bonjour) c'est vrai que le mélange est très riche, mais je me dis qu'il y a plus souvent des problèmes de carence que de surconcentration (les racines font le tri et puisent la quantité de sels minéraux dont elles ont besoin en fonction de leur croissance) Mais ceci dit, si j'ai un soucis, c'est clair que c'est inutile d'en chercher la cause.
Il se trouve que j'ai utilisé la même méthode l'année dernière et je n'ai aucun plant qui a dépéri.
Il y a juste une grande inconnue, l'arrosage! En mettant en terre et en sélectionnant le prochain lot, je me suis aperçu que certains plants (pourtant bien développés) avaient une tige d'un sale aspect au niveau du collet, à tel point qu'elles sont prêtes à tomber ; je les ai rempoté plus profond, mais j'ai peu d'espoir (ça va..., ça concerne trois plants).
Salut Heidi, ouais, c'est sympa chez moi, je joindrais une p'tite photo de la vue de la terrasse un de ces 4.
Salut Skylobo, content de voir que ta couche chaude ne s'est pas noyée et que tu as l'intention de l'utiliser. J'essaierais de suivre tes plants (je suis en train de réfléchir à une meilleure façon d'utiliser mon fumier l'année prochaine) ce dont je suis certain, c'est qu'il faut une couche de terre entre le fumier et les plants. La vapeur du fumier (trop?) frais a grillé mes plants directement posés dessus.
Bon, blabla, blabla, voilà ce que vous attendez... les photos
les ingrédients du mélange.
Le gouffre de plantation.
Il a fallu que je me force à manger les dernières carottes qui étaient sur la trajectoire des tomates.
Journée agréable, je vous promets que de préparer les trous de plantation je me croyais en plein printemps.
Les prochains volontaires à la mise en terre.
Le résultat final.
La couche chaude est pleine à ras bord.
Reine des hâtives.
Miracle des marchés.
Précoce de Quimper.
Bon, allez, à bientôt pour de nouvelles aventures, je vais de ce pas muni de mon thermomètre voir si mes seaux de cendres sont efficaces.