Re: compost
j'ai l’impression, sylv1, que si ton compost n'est pas encore mûr, il ne doit pas être loin de l'être.
½M³ de fumier frais au départ? si c'est le cas, tu ne doit pas avoir beaucoup de compost au final. par contre, couvre le rapidement. certain éléments du compost sont facilement entrainer par l'eau si celle ci passe, en excès, dans le compost. c'est toi qui doit apporter l'eau quand cela est nécessaire. le compost doit resté toujours bien humide mais jamais en excès.
oui, mais pas de suite. attend que les gelées soit passer et que le sol soit un peu réchauffé. rien de pire que "d'enfermer" le froid dans le sol. pailler le compost est une très bonne chose (c'est en fait obligatoire), mais cela doit être fait de suite après l'apport du compost. peut import ce que tu utilise pour cela. je te rappel que pour le brf, le bois doit être vivant, pas sec.
quand on a compris le grand intérêt du compost, sa pratique devient une activité aussi importante que le reste. on prépare donc tout au long de l'année les intrants nécessaires à sa réalisation. comment faire:
les tontes sont laisser à séchées sur le sol après la tonte (sa sèche vite au soleil en été) puis elles sont stocker soit en gros sac poubelles ou, plus simple, dans un bac couvert à côté du composteur.
les feuilles sont ramasser en automne quand elles sont sèches et stocker aussi. certaine seront utiliser de suite avant séchage. il est toujours mieux de passer les feuilles à la tondeuse, quand cela est possible.
si tu compost l'herbe (ce qui est difficile à faire seule et non souhaitable) l'apporter à de nouveaux intrants frais qui demandent un apport azoté ne répondra pas à cette attente.
l'astuce pour ne pas se prendre la tête est de partir avec une base fortement carboné type broyat fin ou paille et d'apporter ses déchet de cuisine, ses tontes, etc au fur et a mesure qu'il se présentent. on brasse un peu à chaque apport. quand on dispose d'un bon volume, on apporte le même volume de fumier frais et on mélange le tout. cela lance le processus de compostage final. on ne rajoute plus rien sauf de l'eau si besoin est.
après deux ou trois retournement, le compost sera bien avancer (demi-mûr) et on pourra l'utiliser comme tel ou le laisser mûrir tranquillement.
en faisant cela au printemps et à l'automne, on dispose toujours de compost pour ses besoins.
j'ai vu ton post, craonne, sur le fumier de "volaille" mais je ne suis pas intervenue pour ne pas devoir "corrigé" certaine erreurs et encore passer pour le chiant!
½M³ de fumier frais au départ? si c'est le cas, tu ne doit pas avoir beaucoup de compost au final. par contre, couvre le rapidement. certain éléments du compost sont facilement entrainer par l'eau si celle ci passe, en excès, dans le compost. c'est toi qui doit apporter l'eau quand cela est nécessaire. le compost doit resté toujours bien humide mais jamais en excès.
je pensais étalé mon " compost" sur mes zones de cultures et les recouvrir d'ici 15 jours de brf ( 2 ou 3cm serais bien), nous allons faire les sarments pour le BBQ et je prévois une remorque pour le broyeur
oui, mais pas de suite. attend que les gelées soit passer et que le sol soit un peu réchauffé. rien de pire que "d'enfermer" le froid dans le sol. pailler le compost est une très bonne chose (c'est en fait obligatoire), mais cela doit être fait de suite après l'apport du compost. peut import ce que tu utilise pour cela. je te rappel que pour le brf, le bois doit être vivant, pas sec.
Craonne a écrit:
Par exemple, pour l'herbe, on n'en a pas trop en hiver... A moins de l'avoir déjà plus ou moins compostée en tas durant l'été...
Que penses-tu de ça, biopotagiste ? Composter les trucs qu'on a sous la main pour les incorporer à ce qu'on récupère ensuite, pas toujours au bon moment !!! ( genre comme chez moi, du fumier de volaille pas composté au mois de février... )
quand on a compris le grand intérêt du compost, sa pratique devient une activité aussi importante que le reste. on prépare donc tout au long de l'année les intrants nécessaires à sa réalisation. comment faire:
les tontes sont laisser à séchées sur le sol après la tonte (sa sèche vite au soleil en été) puis elles sont stocker soit en gros sac poubelles ou, plus simple, dans un bac couvert à côté du composteur.
les feuilles sont ramasser en automne quand elles sont sèches et stocker aussi. certaine seront utiliser de suite avant séchage. il est toujours mieux de passer les feuilles à la tondeuse, quand cela est possible.
si tu compost l'herbe (ce qui est difficile à faire seule et non souhaitable) l'apporter à de nouveaux intrants frais qui demandent un apport azoté ne répondra pas à cette attente.
l'astuce pour ne pas se prendre la tête est de partir avec une base fortement carboné type broyat fin ou paille et d'apporter ses déchet de cuisine, ses tontes, etc au fur et a mesure qu'il se présentent. on brasse un peu à chaque apport. quand on dispose d'un bon volume, on apporte le même volume de fumier frais et on mélange le tout. cela lance le processus de compostage final. on ne rajoute plus rien sauf de l'eau si besoin est.
après deux ou trois retournement, le compost sera bien avancer (demi-mûr) et on pourra l'utiliser comme tel ou le laisser mûrir tranquillement.
en faisant cela au printemps et à l'automne, on dispose toujours de compost pour ses besoins.
j'ai vu ton post, craonne, sur le fumier de "volaille" mais je ne suis pas intervenue pour ne pas devoir "corrigé" certaine erreurs et encore passer pour le chiant!